Autrice, compositrice et interprète, Nabila Dali est une chanteuse de
Pop-World franco-algérienne aux influences berbères et celtiques.
Polyglotte et originaire de Kabylie elle a été finaliste du télé-crochet
Alhane wa Chabab (la Star Ac’ algérienne).
De retour en France, elle enchaîne les concerts dans des salles prestigieuses (Palais des Sports, Casino de Paris, Zénith…) et assure la première partie de grands noms de la chanson kabyle tels que Lounis Aït Menguellet. Stimulée par Ilyes Yassine, un brillant luthiste algérien qui devient son compagnon de route, elle décide d’emprunter sa propre « voix ».
Dans une démarche consistant à concilier retour aux sources et aspect universel, elle enregistre un single réalisé par Farid Aouameur
(l’un des chefs d’orchestre et directeurs artistiques les plus prisés en Algérie), où figurent « Imru » et « 6 h 15 », des titres qui répondent à son désir de témoigner sur son époque.
Ce premier disque officiel, remarqué pour son originalité, lui apporte une visibilité médiatique et lui permet d’être programmée en première partie d’IDIR à l’Olympia.
L’originalité de sa musique plaît, et le mélange de ces deux cultures si différentes et pourtant si proches semble être alors une évidence.
Ses origines berbères et ses influences anglo-saxonnes donnent naissance à un univers onirique basé sur la croyance des contes et légendes.
C’est dans cet état d’esprit créatif, fondé sur un désir de renouer avec ses racines pour mieux s’ouvrir aux autres, qu’elle a élaboré son premier album « Imnayen » chez Root’Zik Production où, grâce aux arrangements et la réalisation du talentueux Dominique Sablier (Tom Frager,
« Lady melody »…) le oud et le violon se marient au Uilleann pipe et aux whistles.